Juillet 2017, rives du fleuve Aiari, à la frontière entre Brésil et Colombie. Des entrepreneurs issus du secteur minier et des fonctionnaires du CPRM, l’institut géologique brésilien, pénètrent sur le territoire autochtone dénommé Alto Rio Negro, où vivent des communautés baniwa et koripako. Sans autorisation. Le motif de leur présence est un grand classique dans cette région du monde : prospecter et identifier les possibilités d’exploitation des ressources que recèle le sol...